Réponse à Ségolène et LaRenarde
suite à vos commentaires sur "question de point de vue" (commentaires dont je vous remercie, soit dit en passant)
Je pense qu'il faut distinguer l'histoire qui est la nôtre, depuis l'enfance, et l'interprétation que l'on en fait, la façon dont on (se) la raconte : "L'important n'est pas ce qu'on t'a fait, mais ce que tu fais de ce qu'on t'a fait." Il me semble que les hommes - je corrige : certains hommes - ont plus de mal que nous à renoncer à la fusion, non ? Aurions-nous une plus grande maturité affective ? Serions-nous d'avantage enclines aux "renoncements nécessaires" (cf Judith Viorst) ? Paule Salomon explique très bien dans "La Sainte Folie du Couple", les différentes étapes, le cheminement "initiatique" du couple, et comment il est un formidable lieu de développement personnel, à condition de savoir déjouer tous les pièges qui nous y attendent, et à condition d'être deux à souhaiter évoluer ensemble...
J'aimerais assez avoir l'avis de quelques hommes sur cette question... A bons entendeurs...